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Dans le cadre de la campagne « Agissons ensemble contre la myopie », l’Institut d’Éducation Médicale et de Prévention organise « la Semaine nationale de la myopie », du 20 au 26 novembre.

Objectif : braquer les projecteurs sur ce trouble de la vision et mieux faire connaître les solutions permettant d’en ralentir la progression. Car, même si elle est vécue comme une fatalité, « la myopie, ça se freine ! ».


INÉDIT : « Baromètre de la myopie en France »1 (Ipsos) : 1 Français sur 2 ne sait pas que la myopie peut être freinée


• Des comportements de prévention peu adoptés : plus d’1 parent sur 4 (27 %) déclare que son enfant passe en moyenne moins de deux heures par jour dehors en semaine.
En parallèle, la pratique des activités en vision de près (écrans, lecture…) est en moyenne de 5h29 par jour en semaine chez leurs enfants. Les adolescents (14-17 ans) consacrent plus de 8h par jour à ces activités (en semaine).

• Un suivi ophtalmologique des enfants encore largement perfectible : 38 % des parents d’enfants (n’ayant pas de problème de vision diagnostiqué) les emmènent consulter seulement tous les 4/5 ans ou moins souvent.

•  Des complications de la myopie toujours mal connues : seuls 17 % des Français savent que la myopie peut entraîner des complications pouvant aller jusqu’à la cécité et à peine 2 sur 5 ont conscience que plus la myopie apparaît tôt, plus elle risque de devenir forte avec un risque de complications à l’âge adulte.

• Des Français encore peu informés sur l’existence de solutions permettant de ralentir la progression de la myopie chez les enfants : moins de 2 Français sur 10 connaissent l’existence de ces solutions, mais 95 % se disent favorables à la mise en place de campagnes nationales d’information pour les faire connaître